L’infertilité pouvant être provoquée par des troubles du fonctionnement du système reproducteur de l’un ou des deux conjoints, un examen médical soigneux sera pratiqué chez l’homme et la femme. L’anamnèse est très importante pour le diagnostic de l’infertilité, il vous sera alors nécessaire non seulement d’expliquer tous vos problèmes au spécialiste en reproduction humaine lors de votre première consultation chez le médecin mais aussi, si possible, de lui fournir les résultats des analyses et des examens qui ont été effectués avant. Plus de détails il aura, plus tôt il sera capable d’identifier les causes de l’infertilité et de prescrire un traitement adapté.
Le diagnostic de l’infertilité à la Nova Clinic se fait en utilisant les méthodes contemporaines et l’équipement de diagnostic de pointe.
L’algorithme approximatif du bilan de l’infertilité
1. Recherche des causes hormonales (les causes les plus fréquentes de l’infertilité féminine sont : « insuffisance » de la deuxième phase du cycle ; absence de l’ovulation ; pathologie de l’ovulation)
Afin d’identifier ces causes on pratique :
le monitorage de la folliculogenèse en cycle naturel ;
la mesure de la température basale du corps de la patiente du cinquième au premier jour du cycle (le matin quand elle est encore au lit)
la prise de sang par ponction veineuse pour la testostérone, l’œstradiol, la thyroxine libre T4, la follitropine, la thyrotropine, la lutéotropine, la somatotropine, le DHEA-S (le sulfate de déhydro-épiandrostérone), la SHBG (la globuline se liant aux hormones sexuelles), le cortisol, la prolactine aux 3ème - 5ème jours du cycle, 17OH – la progestérone
2. Test Post-Coïtal (TPC) (test Shuvarsky) afin d’exclure le facteur cervical
3. Recherche des causes infectieuses : le diagnostic et le traitement efficace de l’infertilité sont impossibles sans l’assainissement des agents infectieux qui exercent leur influence pathogène sur le système reproducteur féminin en nuisant à sa capacité de porter et mettre au monde des enfants.
Le groupe d’infections réunies sous l’abréviation TORCH est assez inoffensif pour les adultes and les enfants mais extrêmement dangereux pour les femmes enceintes.
La lettre O – others (autres) – indique les infections susceptibles de nuire au fœtus, telles que : l’hépatite C et B, le chlamydiose, l’infection à gonocoque, la listériose et la syphilis.
Cette liste a été récemment complétée par la varicelle, l’infection à entérovirus et l’infection à HIV.
T – toxoplasmose
O – autres infections
R – rubéole
C – cytomégalovirus
H – herpès (virus herpès simplex)
Examen bactériologique des voies urogénitales de la patiente avec l’identification ultérieure des agents pathogènes, dont le Candida
Evaluation de la sensibilité aux antibiotiques
Test PCR des prélèvements de l’urètre et du canal cervical de la patiente pour le mycoplasma hominis, l’ureaplasma, les chlamydias, le mycoplasme, la gonorrhée, le trichomonas vaginalis, le virus herpès simplex (HSV 1.2), les souches pathogènes du virus du papillome humain (HPV)
Investigation bactérioscopique du frottis natif urogénital ;
Analyse de sang veineux pour la listériose
Evaluation de l’avidité des immunoglobulines Ig G à la toxoplasmose, au cytomégalovirus (CMV), à la rubéole et au virus herpès simplex (HSV 1.2)
Analyse immuno-enzymatique de sang pour les anticorps anti-rubéole Ig G,M ; HSV 1 Ig G,M ; HSV 2 Ig G,M ; CMVI Ig G,M ; M anti chlamydias.
4. Ecographie du petit bassin des patientes aux 3ème-5ème jours et aux 19ème-21ème jours du cycle pour exclure les procès pathologiques pouvant être une des causes de l’absence de grossesse
5. Une des étapes importantes dans le diagnostic des causes de l’infertilité est l’évaluation de la fertilité de l’époux de la patiente. Un bon spermogramme et le résultat positif de la consultation chez l’andrologue seront un gage de réussite.
6. Lorsque les causes et facteurs endocrines et infectieux masculins sont absents ou ont été rectifiés, des méthodes invasives complémentaires d’investigation peuvent être prescrites (hystéroscopie du canal cervical, hystérosalpingographie, investigation endoscopique des organes du petit bassin). Ces investigations permettent d’exclure une pathologie des trompes utérines, de la cavité utérine et des organes du petit bassin de la patiente.
6. Les spécialistes de notre centre prescrivent assez souvent les méthodes invasives d’investigation pour identifier les causes de l’infertilité (parmi celles le plus souvent utilisées sont : l’hystéroscopie du canal cervical, MLS).
7. Cette liste incomplète ne décrit que le protocole général d’identification des causes de l’infertilité. Il va de soi que pour chaque cas particulier le nombre d’investigations à faire sera déterminé par le médecin de manière individuelle. Il se peut que toute une partie des investigations mentionnées sur cette liste s’avère inutile.
En application de l’Ordre du Ministère de la santé publique de la Fédération de Russie « Sur les modalités de l’utilisation des techniques de procréation médicalement assistée, les contre-indications et les restrictions à leur utilisation » et pour rejoindre le programme de PMA il vous faudra réunir un nombre d’analyses et passer les examens médicaux suivants.
License
The electronic license is presented on the Roszdravnadzor website
№Л041-01137-77/00316847
Licensing authority: Federal Service for Surveillance in Healthcare, valid indefinitely
Le diagnostis de l`infertilite
L’infertilité pouvant être provoquée par des troubles du fonctionnement du système reproducteur de l’un ou des deux conjoints, un examen médical soigneux sera pratiqué chez l’homme et la femme. L’anamnèse est très importante pour le diagnostic de l’infertilité, il vous sera alors nécessaire non seulement d’expliquer tous vos problèmes au spécialiste en reproduction humaine lors de votre première consultation chez le médecin mais aussi, si possible, de lui fournir les résultats des analyses et des examens qui ont été effectués avant. Plus de détails il aura, plus tôt il sera capable d’identifier les causes de l’infertilité et de prescrire un traitement adapté.
Le diagnostic de l’infertilité à la Nova Clinic se fait en utilisant les méthodes contemporaines et l’équipement de diagnostic de pointe.
L’algorithme approximatif du bilan de l’infertilité
1. Recherche des causes hormonales (les causes les plus fréquentes de l’infertilité féminine sont : « insuffisance » de la deuxième phase du cycle ; absence de l’ovulation ; pathologie de l’ovulation)
Afin d’identifier ces causes on pratique :
le monitorage de la folliculogenèse en cycle naturel ;
la mesure de la température basale du corps de la patiente du cinquième au premier jour du cycle (le matin quand elle est encore au lit)
la prise de sang par ponction veineuse pour la testostérone, l’œstradiol, la thyroxine libre T4, la follitropine, la thyrotropine, la lutéotropine, la somatotropine, le DHEA-S (le sulfate de déhydro-épiandrostérone), la SHBG (la globuline se liant aux hormones sexuelles), le cortisol, la prolactine aux 3ème - 5ème jours du cycle, 17OH – la progestérone
2. Test Post-Coïtal (TPC) (test Shuvarsky) afin d’exclure le facteur cervical
3. Recherche des causes infectieuses : le diagnostic et le traitement efficace de l’infertilité sont impossibles sans l’assainissement des agents infectieux qui exercent leur influence pathogène sur le système reproducteur féminin en nuisant à sa capacité de porter et mettre au monde des enfants.
Le groupe d’infections réunies sous l’abréviation TORCH est assez inoffensif pour les adultes and les enfants mais extrêmement dangereux pour les femmes enceintes.
La lettre O – others (autres) – indique les infections susceptibles de nuire au fœtus, telles que : l’hépatite C et B, le chlamydiose, l’infection à gonocoque, la listériose et la syphilis.
Cette liste a été récemment complétée par la varicelle, l’infection à entérovirus et l’infection à HIV.
T – toxoplasmose
O – autres infections
R – rubéole
C – cytomégalovirus
H – herpès (virus herpès simplex)
Examen bactériologique des voies urogénitales de la patiente avec l’identification ultérieure des agents pathogènes, dont le Candida
Evaluation de la sensibilité aux antibiotiques
Test PCR des prélèvements de l’urètre et du canal cervical de la patiente pour le mycoplasma hominis, l’ureaplasma, les chlamydias, le mycoplasme, la gonorrhée, le trichomonas vaginalis, le virus herpès simplex (HSV 1.2), les souches pathogènes du virus du papillome humain (HPV)
Investigation bactérioscopique du frottis natif urogénital ;
Analyse de sang veineux pour la listériose
Evaluation de l’avidité des immunoglobulines Ig G à la toxoplasmose, au cytomégalovirus (CMV), à la rubéole et au virus herpès simplex (HSV 1.2)
Analyse immuno-enzymatique de sang pour les anticorps anti-rubéole Ig G,M ; HSV 1 Ig G,M ; HSV 2 Ig G,M ; CMVI Ig G,M ; M anti chlamydias.
4. Ecographie du petit bassin des patientes aux 3ème-5ème jours et aux 19ème-21ème jours du cycle pour exclure les procès pathologiques pouvant être une des causes de l’absence de grossesse
5. Une des étapes importantes dans le diagnostic des causes de l’infertilité est l’évaluation de la fertilité de l’époux de la patiente. Un bon spermogramme et le résultat positif de la consultation chez l’andrologue seront un gage de réussite.
6. Lorsque les causes et facteurs endocrines et infectieux masculins sont absents ou ont été rectifiés, des méthodes invasives complémentaires d’investigation peuvent être prescrites (hystéroscopie du canal cervical, hystérosalpingographie, investigation endoscopique des organes du petit bassin). Ces investigations permettent d’exclure une pathologie des trompes utérines, de la cavité utérine et des organes du petit bassin de la patiente.
6. Les spécialistes de notre centre prescrivent assez souvent les méthodes invasives d’investigation pour identifier les causes de l’infertilité (parmi celles le plus souvent utilisées sont : l’hystéroscopie du canal cervical, MLS).
7. Cette liste incomplète ne décrit que le protocole général d’identification des causes de l’infertilité. Il va de soi que pour chaque cas particulier le nombre d’investigations à faire sera déterminé par le médecin de manière individuelle. Il se peut que toute une partie des investigations mentionnées sur cette liste s’avère inutile.
En application de l’Ordre du Ministère de la santé publique de la Fédération de Russie « Sur les modalités de l’utilisation des techniques de procréation médicalement assistée, les contre-indications et les restrictions à leur utilisation » et pour rejoindre le programme de PMA il vous faudra réunir un nombre d’analyses et passer les examens médicaux suivants.